30 ANS DE VOIX (IN)OUÏES
Ludmila Charles avec La belle saison (Noir sur blanc, 2021)
croise Annick Walachniewicz avec Il ne portait pas de chandail (L’arbre à paroles, 2018)
pour dire la beauté du détail.
- Ludmila Charles(Noir sur Blanc, 2021)La belle saison© Louise Oligny(Noir sur Blanc, 2021)La belle saisonouiImage
Nous sommes dans les années 80, dans une petite ville d’ex-Tchécoslovaquie, à l’aube de Tchernobyl et de la fin de l’ère soviétique. Elena, sixième enfant arrivé vingt ans après les autres, grandit dans un monde de femmes, entourée par sa mère et ses sœurs. C’est le récit d’une petite fille devenue femme, de ses rêves et espoirs devenus renoncements et désillusions.
La belle saison trace délicatement et par petites touches le portrait de cette femme, au sein d’une famille aux secrets et liens opaques.
Ludmila Charles enseigne la littérature à l’université.
La belle saison (Noir sur blanc, 2021) est son premier roman. - Annick Walachniewicz(L'arbre à paroles, 2018)Il ne portait pas de chandail(L'arbre à paroles, 2018)Il ne portait pas de chandailnonImage
Il ne portait pas de chandail brosse le portrait d’une famille, et plus particulièrement d’un père polonais rescapé des camps de concentration
dans une histoire éclatée de la Seconde Guerre mondiale à nos jours, entre Est et Ouest.Un roman d’inspiration autobiographique sobre et bouleversant, construit comme un puzzle, qui nous rappelle que la mémoire se transmet de génération en génération avec son lot de douleurs et d’incompréhension.
Annick Walachniewicz est scénographe et plasticienne.
Elle a publié Il ne portait pas de chandail (L’arbre à paroles, 2018), pour lequel elle est invitée en 2019 au Festival du Premier Roman et des Littératures Contemporaines.
Annick Walachniewicz a été en résidence d’écriture en Mayenne en 2021-2022.