Eveline Thomer

  • (Les 2 encres, 1998)
    Café crème
     
    anonyme
    (Les 2 encres, 1998)
    Café crème
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    Café crème

    Sur le racisme, délicat sujet d'actualité, une histoire romanesque qui conte de manière psychologique les difficultés de communication de personnages que tout sépare.

    Eveline Thomer a publié La Matouze (Michel de Maule,1994), Prix spécial du Jury de l’Académie des Provinces françaises 1994, Et la vie va (Michel de Maule, 1996), Prix Madame de la Fayette des provinces françaises 1996, Café crème (Les Deux Encres, 1998), Satané lavoir (Sol’Air, 2000), Prix Armand Lanoux 2000, Le cancre (Société des Ecrivains Associés, 2003), Mystère en Vendée (Sol'Air, 2004), Prix spécial du jury 2005 de la Société des écrivains de Vendée,  La vraie liberté (Dorval, 2007), Trophée St Exupéry littéraire international du CEPAL 2007, Prix du pinceau et de la plume 2007, Prix littéraire européen de l’A.D.E.L.F 2007 et Prix de Gâtine 2008, La maison d’en haut (Geste, 2007), Madeleine et ses deux maris (Geste, 2008), Drôle d'héritage (Geste, 2009), Une longue absence (Geste, 2010), Quand le soleil se cache (Geste, 2011), Une pluie de neige (Geste, 2012), Un amour marin (Geste, 2013), Hasard ou destin (Geste, 2014), Un étrange rendez-vous (Océane, 2015) et Un été improbable (Océane, 2016),

    * 1995 : invitée au Festival du Premier Roman pour son premier roman La Matouze
    * 1998 : invitée dans le cadre de la saison littéraire pour Café crème

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    La Matouze
    La Matouze
    (Michel de Maule, 1994)

    Plus d'infos

    La Matouze est une femme belle mais étrange dont le comportement impulsif effraie? autant qu'il fascine.
    Aussi n'échappe-t-elle pas à la sévérité douloureuse de l'aînée de ses filles qui affronte héroïquement la tyrannie d'une mère castratrice et séductrice. La liberté de ton, l'aisance de la parole deviennent donc la part licencieuse que s'octroie la fille sur la famille.
    Et ce récit délimite l'espace nécessaire où s'épanchent l'exaspération, la peur, la solitude et l'épuisement. Par lui s'exorcisent les maux et les souffrances. Ce qui pourrait être le douloureux roman de l'enfance se dissout dans les railleries pertinentes d'une jeune fille obstinément optimiste et pourvue d'une joie de vivre peu commune. L'histoire serait tragique si elle n'était drôle.
    Il n' y a finalement pas de fatalité pour les personnages même malheureux.

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