Benoît Coquil

  • (Rivages, 2023)
    Les petites choses
     
    Benoît Coquil
    (Rivages, 2023)
    Les petites choses
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    Les petites choses

    Mexique, années 1950. Au cœur des montagnes brumeuses de la région de Oaxaca, la chamane María Sabina se livre à d’étranges incantations, mêlées de transes et de chants. Elle a recours dans ses rituels aux psilocybes, de puissants champignons hallucinogènes, qu’elle appelle ses « petites choses ».
    Mus par une insatiable curiosité, Gordon et Valentina Wasson, d’étonnants scientifiques autodidactes, partent depuis New York en quête du dernier psychotrope encore inconnu de l’Occident.
    Le récit de leur découverte et de leurs expériences sous l’effet de cette substance va bientôt faire vibrer la planète, de la CIA au Muséum d’Histoire naturelle de Paris, de la contre-culture psychédélique aux laboratoires Sandoz. Et faire basculer à tout jamais l’univers de María Sabina.
    D’une plume vive et jubilatoire, entre récit d’aventures et tableau magique, Benoît Coquil nous fait revivre la fabuleuse histoire d’un champignon qui a changé le monde.

    Benoît Coquil a publié Buenos Aires n'existe pas (Flammarion, 2021) et Les petites choses (Rivages, 2023).

    * 2022 : invité au Festival du Premier Roman et des Littératures Contemporaines pour son premier roman Buenos Aires n'existe pas
    * 2024 : lauréat du Prix Littéraire du 2e roman pour Les petites choses, invité au Festival du Premier Roman et des Littératures Contemporaines pour la remise du Prix

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    Buenos Aires n'existe pas
    Buenos Aires n'existe pas
    (Flammarion, 2021)

    Plus d'infos

    Buenos Aires n’existe pas est une sorte d’enquête reconstituant le possible séjour de l’artiste Marcel Duchamp à Buenos Aires, une balade urbaine et artistique dans une Argentine de la fin des années 1910, à l’aube de sa plus grande révolte ouvrière.

    Consacré à ce blanc biographique, Benoît Coquil bâtit une fiction inspirée de cet artiste énigmatique.

    A Buenos Aires, il va passer neuf mois. Neuf mois suspendus, le temps de prendre congé du monde et pourquoi pas de lui-même. Il veut s’amuïr, comme une voyelle : cesser d’être prononcé. De ce hiatus de neuf mois on ne sait pas grand-chose, hormis par quelques lettres, quelques entretiens. Pour le raconter, il faut appeler la fiction à la rescousse.