Constance Rivière

  • (Stock, 2021)
    La maison des solitudes
     
    Constance Rivière - Festival du Premier Roman et de Littératures Contemporaines 2021
    (Stock, 2021)
    La maison des solitudes
    non
    Image
    La maison des solitudes

    Une jeune femme veut rejoindre sa grand-mère qui vit ses dernières heures à l’hôpital, mais elle en est empêchée. Pour lutter contre cette inhumanité envahissante, elle remonte le fil de la vie. Les souvenirs peuplent sa solitude : la Maison familiale, la lumière chaude de l’enfance, les livres de contes, le marronnier aux branches basses comme des caresses… Et les étreintes de sa grand-mère, qui rayonne de vie.
    Pourtant une ombre recouvre le tableau. Sa mère refuse de franchir le seuil de la Maison, le mutisme ne quitte pas un instant cette femme lunaire. « Le soleil a rendez-vous avec la lune, mais la lune n’est pas là… »
    Cette rengaine familière, il n’est plus temps de la fredonner lorsque, les années ayant passé, la mort frôle. Les heures, les minutes de vie sont comptées, la jeune femme ressent l’urgence de comprendre. Que s’est-il passé dans la Maison ?

    Constance Rivière a publié Une fille sans histoire (Stock, 2019), La Maison des solitudes (Stock, 2021) et La vie des ombres (Stock, 2023).

    * 2020 : invitée au Festival du Premier Roman et des Littératures Contemporaines pour son premier roman Une fille sans histoire (annulé en raison du covid)
    * 2021 : invitée au Festival du Premier Roman et des Littératures Contemporaines pour son premier roman Une fille sans histoire
    * 2022 : sélection Prix Littéraire du 2e roman pour La Maison des solitudes

    non
    Image
    Une fille sans histoire (Stock, 2019) - Constance Rivière - Festival du Premier Roman et de Littératures Contemporaines 2021
    Une fille sans histoire
    (Stock, 2019)

    Plus d'infos

    Dans Une fille sans histoire, nous sommes au lendemain des attentats du 13 novembre 2015. Adèle s’invente une histoire d’amour avec Matteo, l’une des victimes du Bataclan. Cette usurpation lui permet d’exister, d’être quelqu’un et d’avoir sa propre histoire. Constance Rivière met en scène un personnage d’une grande complexité, successivement bouleversant, fragile et manipulateur en quête de reconnaissance. Un roman polyphonique qui montre la mécanique de l’imposture.

Ses rencontres

…en replay